⌂GlucoHorse
Beaucoup de suppléments ont uniquement de beaux slogans. GlucoHorse par contre fait ses preuves jour après jour dans la pratique. Sur cette page, des hommes et des femmes de cheval racontent avec leurs propres mots leurs expériences avec GlucoHorse.
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Annet et Blackstar

Annet était presque certaine qu'elle devrait dire adieu à Blackstar. La mort dans l'âme, mais sa jument Tinker souffrait d'une forme grave d'arthrose au point que la situation semblait désespérée. Jusqu'à ce qu'en écoutant les conseils d'une amie pensionnaire, elle commençait à administrer du GlucoHorse.

Mon cheval est un Tinker qui s'appelle Blackstar. Son âge est inconnu, mais lorsqu'elle venait d'être importée aux Pays-Bas, on a estimé qu'elle avait huit ou neuf ans. Ce qui signifie qu'elle est née en 1995. Je crois pourtant que Blackstar est plus vieille. Elle a été importée d'Angleterre par un marchand, mais entretemps la jument est chez moi depuis sept ans.

Avec Blackstar, j'ai vécu de merveilleuses années. Elle ne boitait jamais, et n'a jamais eu le moindre ennui de santé. Mais tout a commencé en août 2006. Blackstar ne marchait pas librement. Je ne veux pas dire qu'elle boitait fort, mais elle n'était pas carrée dans ses allures non plus. J'ai bien évidemment fait venir le vétérinaire pour l'examiner. Il a inspecté les pieds, rien d'alarmant. Pas de sabots chauds ni de jambes chaudes. Alors, où se trouvait le problème ? Mon véto a fait un test de flexion pour voir sa réaction. Pendant une minute il a fixé l'antérieur, et ensuite Blackstar devait trotter. C'était terrible. Elle a failli tomber sur son nez. Tout de même, on a testé l'autre jambe aussi, mais un peu moins sévèrement. C'était à nouveau la même histoire. En commençant à trotter, elle a failli tomber tellement elle boitait. Nous nous sommes concertés avec le vétérinaire qui pensait à une inflammation des tendons. Mais pour en être certaine, elle voulait que je me rende dans une clinique. Nous avons pris rendez-vous à la clinique pour d'autres examens. Nous étions conviés une semaine plus tard.

Annet avec sa jument Tinker Blackstar

Et nous revoilà partis pour une série d'examens : des tests de flexion (elle boitait à nouveau), des anesthésies étagées pour déterminer ou se trouvait la douleur et des radiographies. Comme Blackstar est gentille, elle a tout subi sans problème. Le résultat des radios ? La jument ne souffre pas d'une inflammation des tendons mais d'arthrose. J'ai été surprise. Mais bon, que pouvait-on faire et c'est quoi qui était important pour ma jument ? Elle devait être ferré aux antérieurs avec des fers spéciaux en aluminium ('rollover'), et ensuite rester dans son box avec un schéma de marche durant six semaines. Puis retour à la clinique pour voir si la situation s'était améliorée et éventuellement à nouveau appliquer les mêmes fers.

Nous sommes retournés six semaines plus tard. Et effectivement, Blackstar se déplaçait mieux qu'auparavant. Des nouveaux fers ont ensuite été mis et il fallait à nouveau attendre. Mais hélas, après cinq jours un fer s'est décroché. J'ai demandé au marechal-ferrant d'enlever le deuxième. Il allait revenir plus tard dans la semaine pour remettre les deux fers, mais cela n'a heureusement pas été nécessaire puisque Blackstar continuait à marcher assez correctement.

Mais cela n'a malheureusement pas duré. Un an et demi plus tard, Blackstar allait de mal en pire. Elle boitait franchement. J'ai à nouveau appelé le vétérinaire et expliqué toute l'histoire. Il a effectué un petit test de flexion et c'était encore pire qu'avant. J'avais mal de la voir souffrir tellement lors du test. Le vétérinaire m'a une nouvelle fois aiguillée vers la clinique afin de vérifier si l'arthrose avait tellement empiré qu'elle provoquait les boitements. J'ai mûrement réfléchi et j'ai opté pour une autre clinique. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne voulais pas retourner à la clinique où j'avais été la première fois.

Annet avec sa jument Blackstar en main.

J'ai pris rendez-vous et la semaine d'après nous nous sommes rendus sur place pour les examens. D'abord on a fait marcher Blackstar sur la volte sur un sol dur et un sol souple, et ensuite on a fait des tests de flexion. Le spécialiste a vu tout comme moi que ce n'était pas bon. On a bien entendu refait des radiographies. Et ensuite, il fallait attendre avant de pouvoir parler au spécialiste pour connaître les résultats. Je voyais à sa tête que ce n'était pas positif. Il n'y allait pas par quattre chemins non plus. "C'est que j'ai vu marcher votre cheval, mais en regardant ces radios, je n'aurais pas pensé qu'elle pouvait encore faire un seul pas. Son arthrose est tellement grave en ce moment. Elle n'a presque plus d'espace entre ses articulations, et elle a de l'arthrose partout dans ses jambes, bien qu'il y ait bien évidemment des différences de gravité d'un endroit à l'autre".

A un moment comme ça, on s'effraie terriblement, tous les tocsins commencent à sonner, on se sent paralysé par le stress, et on essaie de toutes ses forces de ne pas pleurer. Mais bon, il faut bien entendu penser aux traitements éventuels ou aux décisions qu'il faut prendre. J'ai donc discuté avec le spécialiste. On pouvait commencer un traitement avec des injections directement dans les articulations (elle en aurait cinq). Ce traitement pouvait avoir de l'effet ou pas. Si cela marchait, on ne savait pas combien de temps cela pouvait durer. Deux semaines, deux mois ou peut-être même deux ans. Si le traitement ne fonctionnait pas, le spécialiste ne voyait pas d'autres possibilités et c'était la fin de l'histoire. Je voulais absolument essayer les injections et c'est ce qu'on a fait. Après quatre semaines, Blackstar devait retourner pour vérifier si le traitement avait fonctionné. Durant ces quatre semaines, je n'avais pas vraiment l'impression qu'elle marchait bien et que cela avait réussi. Mais on ne sait jamais. Après quatre semaines, retour à la clinique. Elle devait à nouveau marcher sur des voltes en guise de contrôle. Le spécialiste a constaté une légère amélioration, mais pas à tel point que ces injections avaient fonctionné. Quelle déception bien sûr.

Je m'étais dit que si elle passait l'été, si elle marchait comme maintenant (pas vraiment raide, mais pas complètement boiteuse non plus) et si elle était encore heureuse et non pas une triste épave, elle pourrait encore passer l'hiver pour s'amuser comme un cheval en été dans le pré. Et après ça, ce serait la fin. Je ne voulais pas qu'elle ait trop mal, ce n'était pas juste et elle n'avait pas mérité ça. Entretemps, j'avais commencé une cure de complément alimentaire (Gelatinaat) après la seconde visite à la clinique. Durant l'hiver suivant, tout s'est en fait bien passé, je ne pouvais pas me plaindre de sa motricité et de son humeur. Mais à la fin de l'hiver, vers le mois de février-mars, les problèmes sont revenus. Blackstar marchait de moins en moins bien, quel que soit le sol. Elle n'était plus la même. Je savais bien évidemment que cela pouvait se passer, mais c'était quand même un choc.

J'étais déjà à la recherche de la meilleure méthode pour l'endormir, mais heureusement j'ai rencontré un nouveau propriétaire aux écuries. Nous nous sommes parlé et elle m'a demandé, "pourquoi ne pas chercher un autre type de supplément adapté à l'arthrose, car ce qu'elle prend actuellement n'est pas approprié. Il s'agit d'un supplément réduisant le risque d'arthrose, mais ce n'est pas adapté aux chevaux souffrant d'arthrose aiguë". Elle avait bien raison. Nous avons cherché sur Internet pour trouver la solution la moins chère qui pouvait à la fois aider ma jument. J'ai lu des tas de choses, des histoires encore plus belles les unes que les autres. Le remède X ne contient pas d'harpagophytum, alors que le médicament Y en contient justement... Il m'a fallu des heures pour tout rechercher. Je ne voulais pas d'un supplément contenant des anesthésiants (harpagophytum), j'y suis farouchement opposée.

Annet et Blackstar trottant

Annet et Blackstar. Annet : "Voilà une photo du 20 septembre 2010, quand je l'ai monté à nouveau pour la première fois. A ce moment, j'avais administré du GlucoHorse pendant juste un peu plus d'un mois. On peut voir que Blackstar se déplace avec beaucoup d'amplitude. L'empreinte du postérieur recouvre convenablement celle de l'antérieur. Auparavant, elle posait le postérieur en deça de l'antérieur par un et demi, même deux sabots, tellement la douleur lui faisait raccourcir ses pas".

C'est ainsi que nous avons découvert le GlucoHorse. J'ai tranquillement lu toutes les histoires et j'étais étonnée des résultats. Je n'avais jamais cru que cela était possible. Mais bon, on se dit qu'il s'agit d'histoires pour vendre et que cela ne peut pas être vrai. Et se rétablir de la sorte est impossible lorsqu'on souffre d'arthrose aiguë, etc, etc, etc... J'ai eu des centaines de pensées comme cela ne peut jamais être possible ou c'est de la camelote. Je restais méfiante jusqu'à ce que l'autre propriétaire (qui est entretemps devenue une bonne copine) déclara, "pourquoi ne pas l'essayer ? Commande six pots et continue à en administrer jusqu'à ce qu'ils soient vides. Si cela ne marche pas, tu peux toujours l'endormir, mais au moins tu auras tenté quelque chose et tu ne seras pas rongée par l'idée d'avoir fait ceci ou cela ". J'ai donc passé ma commande en août 2010, et en trois jours je recevais (déjà !) les pots à la maison. J'ai d'abord tout lu et vérifié la quantité quotidienne à administrer à Blackstar. J'avais trouvé la réponse, mais j'avais quand même encore une question que j'ai envoyée en hésitant à Glucohorse. Ils ont répondu le même jour et j'ai donc pu donner du GlucoHorse sans soucis.

Endéans le mois, ma copine m'a dit qu'elle voyait que ma jument marchait beaucoup mieux que deux mois auparavant. Je ne voulais pas le croire car j'étais tellement aveuglée par la tristesse que je ne voyais plus rien. Une semaine plus tard, elle m'a incité à la monter. "Simplement marcher pour voir et ressentir, rien d'autre, cela ne peut pas faire de mal à ta jument ?". Je l'ai fait dans la semaine et Blackstar se déplaçait beaucoup mieux, avec beaucoup plus d'amplitude qu'avant l'administration du GlucoHorse. J'ai pleuré de bonheur sur mon cheval. J'ai immédiatement changé d'avis, c'était donc possible et ces histoires sur Internet n'étaient pas que des sornettes. Aussitôt j'ai essayé un petit trot et je me suis mise à hurler de bonheur. J'avais un sourire fixé sur mes lèvres pendant plusieurs jours, il est littéralement resté figé.

Je revois la vie en rose, je ne dois pas faire endormir Blackstar, j'ai encore du temps à passer avec ma jument. Rien qu'en administrant du Glucohorse, ma meilleure copine qui me soutient toujours et dont je suis tellement fière est encore en vie. Nous faisons des balades d'une heure et plus dans la forêt et sur la plage en plein trot et en piquant régulièrement un galop. Nous nous amusons à nouveau lors de promenades. Elle a retrouvé ses traits de caractère qui me font rire. Mon cheval est de retour. Le pauvre malheureux qui ne voulait et ne pouvait plus rien faire s'est transformé en un animal énergique profitant de la vie.

Je suis très reconnaissante que vous existiez, et je suis/nous sommes très heureux de vous avoir trouvé.

Bien amicalement,
Annet (Gorichchem, NL)

Ce site web a été réalisé avec le soutien de l'Agence Flanders Investment & Trade.

GlucoHorse est produit sous la supervision de l'Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaine Alimentaire.