Sandra a acheté Spooky, une jument baie attractive, fille de Metall, fin 2010. Une jument non sans histoire, mais néanmoins Sandra a voulu lui donner une chance. Ça avait l’air d’aller bien, lorsque, en été de 2013, les choses tournait au mal. Spooky a été diagnostiquée avec de l’arthrose du boulet antérieur droit. Le diagnostic du véterinaire spécialisé s’avérait sombre : Spooky ne serait plus jamais présentée en compétition, et, à longe terme, l’euthanasie serait probablement la seule solution. Heureusement, Sandra n’a pas voulu quitter Spooky aussi vite que ça. Elle a commencé à administrer du GlucoHorse. Deux mois plus tard, la jument marchait de nouveau tout à fait régulièrement. Entretemps, la combinaison Sandra/Spooky sort avec une belle réussite en M1.

Bonjour,

J’ai acheté mon cheval Spooky vers le fin de 2010, lorsqu’elle avait 11 ans. Elle était sur un petit pré boueux dans les environs de Soesterberg. Elle avait été confisquée à cause de négligence, puis restituée par le juge au propriétaire à condition de vente. Pendant tout l’hiver, elle avait été dehors sans fourrage, sans abris. Je crois bien que ça ait contribué à l'essor de son arthrose.

Spooky (Metall). Selon le vétérinaire spécialisé elle ne ferait plus jamais de compétition, mais entretemps la jument sort avec une belle réussite en M1.

A l’achat de mon cheval, je n’étais pas au courant de son histoire. Il me faudrait encore l’aller chercher la semaine suivante, lorsque, sur la toile internet, j’ai découvert tout ça : les messages sont encore accessible. J’ai quand-même décidé de continuer l’achat : ce cheval mérite aussi une chance. Elle avait l’air beau et fort. En plus, elle était de bonne origine : Metall (Ferro).

Soudain, dans l’été de 2013, Spooky boitait grièvement de son antérieur droit. D’abord, on s’est contenté de suivre son évolution, or, deux semaines plus tard, celui-ci n’avait pas vraiment amélioré. Á ce moment-là, je commençais à m’inquiéter, comme elle n’avait jamais été raide aussi longtemps. Alors, j’ai appelé un véterinaire. Celui-ci est spécialisé en chevaux, et il ne traite que des chevaux. Il a injecté l’articulation de Spooky, et il l’a mis à une semaine de repos. Ensuite, je la pourrais longer.

Une semaine plus tard, je l’ai fait trotter. Sa condition me semblait d’avoir aggravé. Elle ne pouvait même plus plier l’articulation de son boulet antérieur droit. Au trot, elle tenait son antérieur fixe, et elle freinait tout le temps. Tout de suite, j’ai appelé à nouveau le véterinaire. Il a complètement anesthésié l’articulation de son boulet droit, et après elle marchait bien. Immédiatement, il a dit que son articulation était à blâmer. Puis, il a détracté du liquide synoviale provenant de l’articulation de son boulet antérieur gauche : celui-ci avait l’aspect sirupeux. Le liquide provenant de sa jambe droite, par contre, était fin et aqueux. Bien sûr, ça n’avait pas l’air favorable.

Le vétérinaire a fait des radiographies sur le terrain : alors, on a eu un choc. Il y avait déjà pas mal d’excroissances osseuses entourant l'articulation. Alors, le vétérinaire équin m'a dit - littéralement - que ce cheval-ci ne se présenterait plus jamais dans le sport. Il ne me resterait que de la mettre au pâturage pendant qu’elle soit encore en mesure de marcher. Le temps échéant, ses articulations deviendraient trop fragiles et rompraient. Il a impliqué que le temps viendrait qu’il faudrait considérer l’euthanasie de mon cheval.

Une nouvelle affreuse, bien sûr. Une semaine, je n’en ai fait rien, puis, j’ai scruté la Toile à la recherche d’autres possibilités. Ainsi, je suis arrivée au site web de GlucoHorse, où j’ai pu lire, entre autres, les histoires des autres cavaliers. Ces histoires m’ont convaincu d’essayer aussi le GlucoHorse.

Alors, du coup, j’ai commandé deux pots, et j’ai administré du GlucoHorse pendant deux mois tous les jours à mon cheval. Pendant ces deux mois, je ne lui ai permis que de marcher. Deux mois plus tard, je l’ai longée pour la première fois, et alors, elle a marché impeccablement. C’était vraiment incroyable !

Une semaine plus tard, j’ai commencé à la monter avec prudence tous les deux jours. Alors, dès le début de 2014, j’ai commencé à la monter plus fréquemment. Au printemps, lorsqu’elle était de nouveau en pleine forme, on s’est à nouveau présenté en compétition : on a fait la L1 et la L2 en une saison. Elle les a exécutées aisément. Entretemps, on a atteint la reprise M1 aux 5 points de gain; cette été-ci on ressortira en compétition. Pendant les mois d’hiver, on ne sort pas en épreuves, or, dès le début du printemps, on recommence à toute allure. Jusqu’aujourd’hui, j’administre du GlucoHorse encore tous les jours, et je n’oserais pas l’arrêter !

Sincèrement,
Sandra